Le comté de Lamballe, puis de Penthièvre, devenu duché en 1569, s'étend sur un vaste teritoire situé entre les rivières du Gouët et de l'Arguenon et le versant méridional des collines du Mené.
Passé le temps des batailles et des destructions, Lamballe devient une cité commerçante et productive. Si les industries de la meunerie et de la tannerie disparaissent, elles sont remplacées par une florissante industrie agroalimentaire.
Au cours du XIXème siècle et sur une partie du XXème, les races du trait breton et du célèbre postier breton marquent fortement Lamballe grâce au rayonnement du haras national sur toute la région et même au-delà.
Tel est le portrait qu'ont voulu brosser de leur cité les auteurs, Michel Souplet, Guy de Sallier Dupin et Geoffroy de Longuemar, respectivement président et membres de l'association des Amis de Lamballe et du Penthièvre.
SOMMAIRE
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Lamballe, capitale du Penthièvre |
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1. Les monuments religieux La collégiale Notre-Dame. L'église Saint-Martin. L'église Saint-Jean. Le monastère des Ursulines. Le couvent des Augustins. La chapelle Saint-Sauveur |
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2. Les hôpitaux Les Soeurs hospitalières de Saint-Thomas-de_Villeneuve. L'hôpital Villedeneu |
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3. Les structures publiques Le haras national. La gare. Les écoles |
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4. Les guerres mondiales La présence militaire (1914-1918). La Libération. Le monument aux morts |
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5. Les activités économiques La tannerie. La corderie. La poterie. Le commerce |
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6. Les quartiers et les rues |
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7. Les costumes et coiffes du pays de Lamballe |
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8. La vie associative |
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9. Le château de La Moglais |
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